De Calan Laurence

Laurence De Calan article complet


 

Journaliste et photographe, Laurence de Calan, après des études de Lettres et aux Beaux-Arts, a été journaliste pendant une trentaine d’années dans la presse nationale, notamment durant seize ans au groupe Figaro, service culture et société.

D’origine parisienne, Laurence de Calan connaît la région du Perche depuis son enfance et toutes ses vacances passées à Boissy-Maugis. Elle s’installe et vit dans le Perche depuis 2007, et poursuit son activité d’écrivain et de rédactrice pour la presse nationale et locale.

Elle collabore aujourd’hui au magazine Côté Ouest, a lancé une collection sur l’art et la création dans le Perche, La Muse du Perche, dont le dernier numéro vient de paraître et écrit deux ouvrages : Presbytères du Perche (Amis du Perche) et Récits mémorables à l’ombre des manoirs du Perche (Trois L éditions). 

 


 

Récits mémorables à l'ombre des manoirs du Perche, de Laurence de Calan aux Éditions Trois LRécits mémorables à l’ombre des manoirs du Perche
Trois L éditions

 

Depuis l’époque des Croisades jusqu’à la Révolution française, les manoirs du Perche ont connu leurs heures de gloire : nobles seigneurs, paysans de l’ancienne France, voyageurs et colporteurs, toute la vie percheronne passait par là. Pourtant, derrière les harmonieuses façades à meneaux et les imposantes tours à mâchicoulis, il s’en passait de belles : crimes d’honneur, droit de cuissage, duels, vols en tous genres, vengeances, maléfices…
Amours impossibles, abus de pouvoir, extorsions, faiseuses d’anges, sorcières, alchimistes, etc.. L’univers des manoirs décrit par Laurence de Calan est cruel.

« Je suis parfois partie d’une vraie légende romancée, d’un objet, parfois de rien. Comme au manoir de Pontgirard où j’ai découvert une statue sans tête ».

Laurence de Calan s’est amusée à « forcer le trait sur le langage ampoulé des seigneurs » pour mieux en rire !

Si elle a beaucoup inventé, l’auteure s’est toutefois attachée à inscrire ses brèves fictions dans une « trame historique » avec la caution de Philippe Siguret, historien du Perche qui a d’ailleurs préfacé son recueil de contes percherons.