C’était très agréable du début jusqu’à la fin : un rayon de soleil, de ceux qui réchauffent mais sans excès, entre deux nuages.
J’ai l’impression d’avoir passé trois jours au pays du sourire, je n’ai vu que des gens heureux !
Et puis ces rencontres avec des collégiens épanouis, ces restaurants, ce grand salon de réception, cet hôtel sans faute, ce TGV en first classe… Ce salon, de tous le plus LUMINEUX ! Une contagion de bonheur.
Alors merci encore et bravo d’éclairer aussi bien notre travail ! De faire que les livres vivent sous la lumière et que leurs auteurs s’amusent.
Je citerais Anatole France : « Il faut croire aux roses pour les faire éclore. »
Cette année, c’était vous mon printemps.
Je vous embrasse.
Hervé Giraud