Au bout de l’éternité,
Quand il n’y aura plus d’abeilles,
Il n’y aura plus de nouveau-nés.
Plus de tombes.
Plus de cimetières.
Alors,
La mort mourra à son tour.
Mais avec la mort de la mort,
Plus personne ne pourra dire qu’il ne reste rien.
Michel Onfray, La Sagesse des abeilles
Éditions Galilée