(poésie / nouvelle / histoire / ethnologie)
Né en 1966, à Argenteuil, Giovanni-Michel Del Franco est médecin et écrivain.
De l’auteur :
« Nul ne meurt tant qu’il reste quelqu’un pour prononcer son nom. »
« J’écris depuis que je sais écrire, c’est-à-dire quelques années… Il y a seize ans, j’ai pris la décision de me « lancer » en créant mon label d’auto-édition.
Je l’ai nommé Le Chant des hommes, car je me suis nettement orienté vers les sciences humaines au sens large, ayant pour but de porter témoignage de voix oubliées.
J’ai d’abord publié des ouvrages consacrés au village italien de mon père, puis me suis diversifié, et suis finalement revenu à une passion d’enfance : les Amérindiens, en particulier les Apaches Chiricahua. »
Combats apaches : les Chiricahua de 1800 à 1934
Éditions Le Chant des hommes – 2017
L’auteur nous convie à une rencontre avec les Apaches Chiricahua. Il dessine une fresque où s’entremêlent les récits précédents (harmonisés, enrichis, et agrémentés de nouvelles notes) et celui de Mangus, fils du grand Mangas-Coloradas.
Quatre voix, comme le chiffre sacré des Apaches, pour retracer sur plus d’un siècle leur Histoire. Quatre points de vue sur une lutte farouche, dure, cruelle, où s’affrontent deux visions du monde. Elle se terminera par le face à face inégal de trente-huit résistants et quatre mille militaires euro-américains.
Au fil des pages apparaissent, en creux, coutumes, croyances, regards et sentiments de ces hommes dont le tort essentiel fut de vouloir conserver leur culture et leur terre. S’y croisent les figures marquantes du peuple chiricahua, la plus connue des tribus apaches : Mangas-Coloradas, Cochise, Victorio, Juh, Géronimo. En guise d’épilogue, une courte étude est consacrée aux Apaches de Sierra Madre, restés libres après la reddition finale de Géronimo en 1886.
1914 – 1918 : Ainsi meurent les hommes
Éditions Le Chant des hommes – 2013
En novembre 1918, après quatre années de conflit, entre huit et neuf millions de soldats mobilisés avaient perdu la vie. Plus de deux millions d’autres revinrent blessés.
Derrière ces chiffres, froids et presque inconcevables, se cachent des destins brisés, des familles décimées.
Ce petit livre entend redonner un visage, une voix, à quelques-uns de ces combattants anonymes, tous membres de la même famille, broyés par la marche impitoyable de la guerre.
Ce que j’écris est mémoire
Éditions Le Chant des hommes – 2013