Romans
Benjamin Bissaï
Camerounais, installé à Alençon.
Au carrefour des routes en obliques
Éditions Jepublie
Fin des années 70, Cires-lès-Mello, petite bourgade de l’Oise. Lorsque Catherine voit le père de leurs deux enfants rentrer du travail à 10 heures de matin, elle comprend que quelque chose de grave s’est passé. Un accident mortel du contremaître rugueux avec lequel il avait eu maille à partir la veille est le début d’une descente aux enfers qui mènera Pierre en prison, puis en cavale au Cameroun.
Catherine, elle, sans nouvelle pendant un an, devra apprendre à vivre sans son homme, à gagner son pain toute seule sans y avoir été préparée, à élever totalement seule maintenant Phanny et son petit frère Georges.
Après bien des péripéties et de longues années, les deux époux finiront par se retrouver, mais plus rien n’est désormais comme avant : le combat de la jeune Cévenole n’est pas terminé…
Richard Bohringer
Invité d’honneur
Richard Bohringer est comédien (césar du meilleur acteur pour Le grand chemin de Jean-Loup Hubert en 1984, césar du second rôle pour L’addition de Denis Amar en 1985, 7 d’or du public pour le téléfilm Un homme en colère de Didier Albert en 1997).
À ce jour il a joué dans 120 films et 50 téléfilms.
C’est beau une ville la nuit, le film réalisé, produit, interprété et adapté de son livre par Richard Bohringer a reçu le Prix d’interprétation et du premier film au Festival « Lumières de Safi » au Maroc.
Également dramaturge, éditeur, scénariste, producteur, musicien, chanteur.
Écrivain, chez Denoël : auteur de C’est beau une ville la nuit (1988), Le Bord Intime des Rivières (1994) ; chez Flammarion : L’Ultime conviction du désir (2005) ; chez Arthaud : Carnets du Sénégal (2007) et Bouts Lambeaux (2008). Sont également parus chez Flammarion en 2009 Zorglub suivi de Les girafes et en 2010 Traîne pas trop sous la pluie.
Gaël Brunet
Né en 1975, marié, deux enfants.
Un cursus universitaire en Histoire avant de décrocher le concours d’attaché territorial.
Depuis 10 ans dans la fonction publique. Dirige depuis 8 ans les services culturels d’une communauté de communes en Bretagne.
Quelques éléments de bibliographie
- L’aiguille de Kéréon (nouvelle)- www.larevuedesressources.org – juin 2009
- Rêve (nouvelle) – Revue Décapage, Éd. La Table Ronde, N° 40 – octobre 2009
- L’appel du 8 juin (nouvelle) – Revue Décapage, Éd. La Table Ronde, N° 41 – mars 2010
- Au café du coin d’en bas de la rue de la ville d’en face du port (nouvelle) – Revue Décapage, ÉD. La Table Ronde, N° 43 – mars 2011
- Tous les trois (premier roman) – Collection La Brune, Éd. du Rouergue – janvier 2011
Tous les trois
Éditions La Brune au Rouergue
« Je suis leur père pour le meilleur et le meilleur. Je n’ai pas envie du pire, on l’a déjà vécu. Il est derrière nous. »
« Ils se sont retrouvés tous les trois, un père et ses deux très jeunes enfants, à devoir réinventer un quotidien, dans l’absence de leur mère… »
« …Tous les trois, un hommage très réconfortant à l’amour et à la vie. C’est aussi une très belle réflexion sur la paternité. »
Bruno Cadillon
Sorties de route
Cynique et provocatrice, Latifa, une femme flic, ira jusqu’au bout pour dépasser son traumatisme et découvrir sa propre vérité.
Latifa Gadsaev est une femme flic dure et provocatrice dotée d’un humour incisif, mais qui cache un profond traumatisme. Brisée par le décès de ses parents dans un accident de voiture.
Victor Cohen Hadria
Né en 1949, Victor Cohen Hadria est producteur et réalisateur de fictions et de documentaires, romancier il a publié chez Albin Michel Isaac était leur nom, prix de la nouvelle du Salon du livre du Mans (1997) et Chroniques des quatre horizons en 1998.
Aux sources de ces Trois saisons de la rage, deux moments de sa vie professionnelle : longtemps réalisateur des émissions médicales d’Igor Barrère, son intérêt pour cet univers s’est affûté et ses connaissances se sont approfondies. Quant au monde rural, six ans viticulteur et œnologue dans une propriété de Doganella de Ninfa dans le Lazio en Italie, il l’a réellement pratiqué.
Trois saisons de la rage
Éd. Albin Michel
Un formidable catalogue des mœurs, croyances et turpitudes du monde rural, mais aussi une vision du monde et de l’Histoire pleine d’humanité et de lucidité sur la souffrance humaine, qui rappelle aussi bien Maupassant que le Martin Winckler de La Maladie de Sachs.
Ce tissage de destins, de situations et de révélations, cette intrigue serrée au dénouement inattendu confirme le talent et la puissance d’écriture de Victor Cohen-Hadria.
« Cette Normandie de Maupassant, où parviennent les échos de la guerre de Napoléon III, est une évocation universelle de ce qui est à la source des conduites humaines. »
« En 1859, le médecin-major Rochambaud, qui suit les armées de Napoléon III dans leurs campagnes d’Italie, écrit au médecin de campagne d’un village normand, le docteur Le Cœur.
À travers eux, le soldat Délicieux, ordonnance du premier, et sa famille peuvent communiquer.
Ce sont de pauvres paysans illettrés, qui n’ont eu pour seul recours contre la misère, que de « vendre » leur fils, enrôlé à la place de celui de paysans prospères. Mais Délicieux se révèle, à la déception de son mentor, plus retors qu’il n’y paraît…
Suit le journal du médecin Jean-Baptiste Le Cœur, un veuf, père de trois enfants adultes. Ce praticien que l’on croit humaniste et vertueux y avoue ses troubles sexuels, des relations érotiques nombreuses et un tempérament de feu. Et il en faut pour accomplir ses tâches quotidiennes !… »
Michel Delaunay
Auteur de notre région, il présentera son dernier roman Le dernier secret de Bagnoles.
Roman où se mêlent les forêts d’Andaines, d’Écouves, Bagnoles de l’Orne et des superstitions.
Victoria Horton
Victoria Horton est née à Paris en 1947.
Elle a publié quelques textes en revue (NRF, Théodore Balmoral).
Elle vit au Mans.
Elle est l’auteur de Grand Ménage (Quidam, 2009).
Attachements
Quidam éditeur
Deux ans après Grand ménage, Victoria Horton revient chez Quidam avec Attachements, un puissant roman où l’on retrouve toute la force d’une écriture hors du temps, hors des modes, une écriture qui vit, qui vibre au service d’une histoire qui, l’air de rien, nous invite à rencontrer des destins de femmes meurtries.
Après 20 de silence, Anna resurgit dans la vie de ceux qui furent ses proches, parents, amant, anciennes connaissances, par l’intermédiaire de lettres et courriels. Ce retour inattendu à la recherche de son passé, mais aussi de l’histoire de chacun, de chacune comme Juliette la nounou devenue une vieille dame, va peu à peu délier les langues, montrer une autre interprétation du passé fantasmé par Anna. Nettoyée des souvenirs cocasses, la vérité s’avère crue, monstrueuse, mais peut être salvatrice, pour un temps.
Voix singulière et détonante, Victoria Horton comme dans son précédent roman égratigne sans concession et prends à bras le corps un sujet difficile en littérature, celui de la maltraitance faite aux femmes. Encore une belle réussite.
Andréa H. Japp
Rien ne prédestinait Lionelle Nugon-Baudon, alias Andrea H. Japp, à devenir l’une des auteurs de polar les plus célèbres de France. Docteur en biochimie, toxicologue de métier et chercheuse réputée, elle intègre à 27 ans une équipe de l’Institut national de recherche agronomique. Véritable boulimique de lecture, initiée au roman policier par son père, la jeune femme se lance dans l’écriture à partir de 1990 avec La Bostonienne, un véritable succès critique qui l’encourage dans cette voie. Sa carrière d’auteur prend son envol avec l’ouvrage La Femelle de l’espèce. S’ensuivent plusieurs romans aux personnages récurrents : la mathématicienne Gloria Parker-Simmons et le profiler James Irwin Cagney, un cadre américain et scientifique qui explique la comparaison fréquente avec l’auteur Patricia Cornwell. Directrice de collection aux éditions du Masque et Flammarion-Noir, Andrea H. Japp s’est imposée comme une figure incontestable de la littérature policière.
Aesculapius
Les mystères de Druon de Brevaux – Tome I
Roman historique, Éditions Flammarion
Jehan Fauvel, mire (médecin) réputé, est condamné à la Question inquisitoire pour avoir pratiqué des accouchements sans douleur. Il n’ignore pas que la vraie raison de son arrestation n’est autre qu’une pierre rouge, qui a déjà fait couler beaucoup de sang et dont il cherche, avec son ami de toujours, l’évêque Foulques de Sevrin, à percer le mystère. Lorsque Jehan comprend que c’est Foulques qui l’a trahi, il n’a plus qu’une crainte : que l’Inquisition se rapproche de sa fille Héluise, sa passion et sa plus brillante élève. Héluise, de son côté, soudoie un garde pour assassiner son père et lui éviter d’autres monstrueuses tortures. Il lui faut fuir. Déguisée sous les traits d’un jeune mire, nommé Druon, décidée à élucider la mortelle charade de la pierre, elle part sur les routes du Perche et de la Normandie.
3 dernières parutions
- Les cadavres n’ont pas froid aux yeux, Marabout, 9 Mars 2011
- Templa mentis – Druon de Brevaux t.3, Flammarion , 16 Février 2011
- Aesculapius – les mystères de Druon de Brévaux, J’ai Lu, 13 Février 2011
Françoise Kerymer
Françoise Kerymer est née en 1952. Plus de 20 ans d’activité pour la librairie, ancienne et traditionnelle. A animé des comités de lecture et réalisé des catalogues pour les librairies, présentant une sélection de nouveautés littéraires. Fiction romanesque, surtout.
Elle se consacre désormais entièrement à l’écriture. Elle vit entre Paris et la Bretagne, pas loin de la mer.
Il faut laisser les cactus dans le placard, publié chez JC Lattès, paru en octobre 2010.
Trois sœurs. Trois caractères extrêmement différents. Trois vies. Trois personnages auxquels on s’attache. Un décès qui va les réunir contre leur gré.
« Une saga familiale qui nous amène à lire ce que les secrets de famille peuvent dissimuler. Découverts, ils ressurgissent, tout à coup, comme pour mieux nous faire rebondir et participer au chaos engendré par leurs révélations ! Un presque roman policier nous assaille. Tels des poupées russes, les secrets s’accumulent, se croisent, s’enchevêtrent…
Parcours initiatique de ces trois sœurs qui se recomposent elles-mêmes en retraçant l’histoire familiale. »
« Françoise Kerymer propose un roman polyphonique (…) une histoire de filiation, de recherche de soi, pleine de rebondissements ! » – Sortir
« (Françoise Kerymer) signe un texte attachant, qu’elle a souhaité « grand public, détente, évasion ». » – Charente Libre
« Cette véritable épopée familiale est pleine d’aventures et de surprenants rebondissements variés. » – Notes bibliographiques
« En quelques mots, François Kerymer nous offre un premier roman bien ficelé, très agréable à lire. » – PaperBlog
Laurent Luna
Laurent LUNA est né le 8 Octobre 1967 à Toulouse.
Après l’obtention d’un bac scientifique, il a tout d’abord suivi un cursus de physique-chimie, avant de bifurquer radicalement vers des études de lettres.
Par la suite, il ne cessera jamais d’assouvir sa soif d’apprendre, enchaînant des apprentissages aussi variés que le droit, la psychologie, la comptabilité puis le marketing.
Dans le même temps, tout en exerçant différents métiers en relation avec ses études, il passera le plus clair de ses loisirs à écrire.
Son premier roman, De l’autre côté, paru fin 2009 et unanimement salué par un large public, recueille la préface d’un talentueux auteur de thrillers : Franck Thilliez. Désormais, Laurent LUNA se consacre exclusivement à l’écriture.
Bibliographie
- De l’Autre Côté, Plumes Libres éditions, 2010
- L’In Nomine Patris, Plumes Libres éditions, 2010
- H.E.R.O.S Tome 1, la Pierre du Temps, Les Editions du Préau, 2010
- H.E.R.O.S Tome 2, la Renaissance, Les Editions du Préau, 2010
À paraître :
- Les Soleils de Siàm, « L’Enjeu », GRÜND, octobre 2011
- Roman noir (titre en cours), PLON, octobre 2011
- H.E.R.O.S Tome 3, Pharaon, E.D.P., juin 2011
- H.E.R.O.S. Tome 4 (titre en cours), E.D.P., novembre 2011
En savoir plus : Laurent Luna sur le blog de Zone livre
Norbert Merjagnan
Un futur grand de la science fiction, en plus il est français ! Il vient de publier son troisième roman, et déjà il a ses fans. Il nous présentera son dernier livre « les tours de Samarante ».
Ce qu’on dit de lui sur les blogs de la SF
« La plume de Merjagnan présente d’impressionnantes capacités à varier le rythme, les effets de suggestion visuels et sonores. On doit se réjouir de l’apparition récente d’une telle écriture, qui peut donner à la phrase française de science-fiction contemporaine l’occasion de se renouveler par de l’enrichissement sonore, du rythme ample et assumé. »
« Merjagnan est un ALNI, un Auteur Littéraire Non Identifié. Il a été capable de créer la surprise d’un roman remarquable et fortement remarqué, à la griffe stylistique très acérée, bien qu’il ne s’agisse que de son premier roman, et même de son premier texte publié. »
David Moitet
Je suis un professeur d’éducation physique et sportive de 32 ans. Marié, et père de trois jeunes enfants, j’ai la chance d’habiter un petit village paisible dans la Sarthe, en bordure de forêt.
Mon parcours littéraire est assez peu commun : un bac scientifique, beaucoup de handball, un peu de VTT, et un soupçon de badminton…
Plus sérieusement, au cours de mes études à l’université, j’ai eu la chance de croiser la route d’un prof de français pas comme les autres…
Alors que nous empilions les dissertations, alliant citations et formules glaciales, cet homme nous lança un défi sortant de l’ordinaire : il déposa sur notre table une page de roman, racontant l’enlèvement d’un archéologue par un groupe de guérilleros, et nous demanda d’écrire la suite…
Depuis tout petit, les livres ont toujours été des compagnons de route fidèles, au même titre que le cinéma, pour m’évader et vivre par procuration des aventures extraordinaires…
Grâce à ce professeur, j’ai pris conscience que j’étais capable d’en être l’auteur… De cette révélation est né Apoptose, mon premier roman, rapidement suivi de deux autres. Conforté par l’enthousiasme de mes proches, je me suis lancé à la recherche d’un éditeur…
L’année 2010 s’est avérée pleine de bonnes surprises : Apoptose a décroché le coup de cœur du jury du prix VSD du POLAR, et L’homme aux papillons le prix THRILLER de l’été Femme Actuelle.
Grâce aux éditions « Les nouveaux auteurs » et à leur comité de lecture citoyen, mes livres ont quitté les tiroirs dans lesquels ils attendaient leur heure…
APOPTOSE
Éditions Les nouveaux auteurs / ISBN 2819500013 / Parution août 2010, 310 pages, 18,90 €
Coup de cœur du jury prix VSD du Polar 2010
Résumé
Thomas Galion est un ancien policier de la crim’. Suite à une bévue, il se retrouve chef de la police rurale dans une petite ville des Pyrénées.
Le corps d’une femme, vêtue d’un simple pyjama, est retrouvé dans la montagne… Pourquoi le meurtrier lui-a-t-il tranché les mains ?
C’est ce que va devoir découvrir le colonel Maducan, chargé de l’enquête. Il fera rapidement appel aux talents de profiler de Galion pour tenter d’élucider une mystère qui prend sa source dans l’histoire de la région. Galion, dont l’implication dépasse le cadre professionnel, va se jeter corps et âme dans l’enquête…
4e de couverture
« Sachez qu’ici tout est assez simple et qu’il y a des choses qui ne changent pas : le paysage est splendide, la nature imprévisible, le village tranquille… Le job, c’est de vous assurer que tout reste ainsi… ».
En prenant ses fonctions de chef de la police rurale de Saint Lary Soulan, Thomas Galion était loin d’imaginer que sa retraite forcée serait de courte durée…
Mais comment ignorer la plainte muette d’un cadavre atrocement mutilé ?
Peu à peu, les sommets acérés des Pyrénées livrent leurs secrets, et une peur vieille de 25 ans se répand à nouveau dans la vallée…
Et si tout recommençait ?
Site : www.david-moitet.fr
Page facebook : David Moitet Page Officielle
Anne de Pasquale
Née à Berkeley en Californie, Anne de Pasquale est la quatrième d’une mère américaine pianiste musicienne et d’un père suédois capitaine dans la marine marchande.
Son grand-père paternel dirigeait le département philosophie de l’université de Californie à Berkeley et charpentier à son temps libre.
Sa grand-mère a été l’une des premières femmes à ouvrir sa porte aux femmes noires pour leur apprendre à lire et à écrire…
Avant qu’elle rejoigne l’université de Santa Cruz, sa mère lui offre un voyage d’un an en Europe. A Athènes, un metteur en scène canadien lui propose un tournage. Elle accepte, le film ne verra jamais le jour mais elle rencontre des cinéastes grecs…
Elle tourne 6 films, joue dans une pièce de théâtre puis arrive en France. Elle se marie, a 2 fils et tourne de nombreux films dont un James Bond, des séries TV , joue dans des pièces de théâtre et enregistre de nombreux disques.
Une nouvelle histoire d’amour, un second mari comédien, un troisième fils et la découverte d’une région : Le Perche où elle vit depuis 20 ans. Un fils écrivain, un autre cinéaste, un troisième batteur de jazz, elle écrit avec son mari des scénarios pour la TV et en cachette écrit un roman, son roman, pendant 6 ans. Avec son fils musicien, elle joue du banjo dans son groupe Miscellaneous jazz band qui se produit dans les fêtes de village et les mariages…
Dîtes-moi qu’elle est vivante
Édition Marabout
« Une jeune fille de quatorze ans part en séjour linguistique dans une famille française. Elle disparaît… «
Un suspens tendu, entre France et États-Unis, l’étude psychologique subtile d’un couple qui se délabre lorsque l’enfant disparaît, lorsque le père admet sa mort probable, lorsque la mère refuse d’y croire et décide de se battre jusqu’au bout pour retrouver sa fille. une galerie de personnages qui touchent par leur vérité.
Un rythme rapide qui maintient le lecteur en haleine, des rebondissements qui le surprennent. Une bouleversante histoire de femme, de mère.
Frédéric Pommier
Journaliste à France Inter depuis 2001, Frédéric Pommier a présenté les journaux, puis couvert durant plusieurs années l’actualité politique, avant de se voir confier la revue de presse. Aujourd’hui chroniqueur dans différentes émissions, il s’amuse notamment à décrypter les tics du langage médiatique. C’est de ce jeu-là qu’est né « Mots en toc et formules en tic ».
Mots en toc et formules en tic
Éditions du Seuil
« Incontournable », « juste », « j’ai envie de rebondir », « c’est clair », « que du bonheur », « tout à fait », « c’est énorme », « j’adooore » ! Nous sommes tous affectés par des tics de langage qui se propagent comme les virus et les épidémies. Certains sont d’ailleurs gravement atteints – les journalistes, l’auteur lui-même, mais aussi sa cousine, son copain marseillais ou encore sa voisine au caniche abricot… Frédéric Pommier choisit toutefois de sourire de ces expressions toutes faites (et souvent mal faites),en pointant l’un des principaux canaux de contamination, la télévision.
Alternant ironie, humour et absurde, il analyse les symptômes et propose son diagnostic. Un livre « improbable », « décalé », « surréaliste », « hallucinant »… « Incontournable », en somme. « Juste » incontournable.
Martine Pottier
Normande installée à Paris, travaillant dans le monde hospitalier, elle nous présente son premier roman.
La dralleuse
En 1898, la vie d’une institutrice parisienne, venue s’installer dans le Domfrontais. Elle y trouvera un nouveau sens à sa vie, l’amour d’un pays et d’un enfant.
Un regard tendre et amoureux sur cette terre du Calva, lieu secret où l’étranger reste étranger.
En savoir plus (entretien à propos de La dralleuse) : http://globophile.com/edition/media/3_Presentation_dralleuse.pdf
Stéphane Vielle
Titulaire d’une maîtrise de Droit Pénal, diplôme qui la destinait initialement à s’orienter vers le monde judiciaire, Stéphane Vielle exerce actuellement la profession d’iconographe.
Originaire de l’Orne (et élève au Lycée Alain d’Alençon), elle y a trouvé la source d’un premier roman – basé sur l’histoire de son trisaïeul – relatant l’aventure extraordinaire d’un bagnard du Second Empire condamné aux tourments du bagne : les Vampires de l’Île du Diable, édité depuis mai 2010 par les Éditions Terre de Brume.
Blog : http://vampiresilediable-bagne.over-blog.fr/
œnologue
Témoignages
Jean-Marie Cador
Écrivain cyclopédiste
Puisque c’est comme ça, ma p’tite reine… j’m’en r’tourne chez ma mère
Ce récit « picaresque » d’un nouveau style, nous a passionnés et passionnera, j’en suis sûr, nombre de lecteurs. Il crée, de manière drolatique des liens entre les peuples. C’est un récit de voyage généreux bien au-delà du seul aspect sportif (Budapest – Alençon à bicyclette en 10 jours).
Jean-Marie Cador vit en Hongrie où il enseigne l’éducation physique et sportive au Lycée français de Budapest. Son odyssée vélocipédique a déjà été publiée en Hongrie dans sa version bi-langue.
Michèle Mialot
Michèle Mialot habite en Touraine, le pays du bon vin et des châteaux. Elle aime écrire des romans et des poésies qui, maintenant, sont enfin édités par les éditions de la Morelle.
Elle aime faire sourire ses amies et amis.
Autopsie cérébrale d’une conductrice de bus
Éditions de la Morelle
Vingt années passées au volant d’un autobus laissent fatalement des souvenirs impérissables. C’est à larges doses d’humour que Michèle Mialot sort tout droit des tiroirs des souvenirs, se nourrissant des scènes du quotidien, ses anecdotes et ses aventures survenues au volant de son bus dans les années 80/90.
Passagers insolites, automobilistes réfractaires, théâtre de rue, agressions, réparties, fous rires, peurs bleues, autodérision.
Bibliographie
Tous les ouvrages de Michèle Maliot sur le site des éditions de la Morelle
Hélène Lebossé-Bourreau
Hélène Lebossé-Bourreau est née en 1939, dans une commune rurale en Pays Nantais.
Arrivée en 1966 en Région Parisienne, elle a vécu l’évolution de ces deux mondes contrastés, toujours essayant de conjuguer au présent : vie personnelle, familiale et sociale.
Une FEMME et son DEFI
Gravir l’escalier de sa vie
Le récit : Une femme et son défi restitue de manière chaleureuse le parcours d’une personne « ordinaire« , mais peu « banale » !
On l’imagine nous invitant à l’accompagner dans la montée de son escalier. On la perçoit alors nous transmettant son optimisme communicatif.
Elle nous fait progressivement découvrir le nom même de son escalier et , au fil des pages, la lumière qui l’éclaire. Que vous soyez homme ou femme, rural ou citadin, jeune ou plus âgé, vous parcourrez avec intérêt les différentes étapes d’une liberté personnelle à conquérir.
Ce récit vous fera partager un double défi, toujours d’actualité : exister et donner sens à sa vie.
Marc Roger
Né en 1958 à Bamako (Mali), lecteur public de la compagnie La Voie des Livres, Marc Roger décline sa passion de la lecture à voix haute depuis octobre 1992.
Cet auteur considère son action comme un lien social fort :
« Lire à voix haute et en public, c’est à mon sens, offrir à l’écoute du plus grand nombre, public adulte et jeunesse, des récits brefs, nouvelles ou extraits de romans. C’est également produire des étincelles qui donnent envie de lire, d’ouvrir la voie des livres par où circulent l’échange et les idées. Mais c’est aussi, au cœur des villes et des villages, dans l’entreprise, dans les cafés, partout dans la cité, s’inscrire comme un passeur. Tout simplement lecteur public. »
Après un Tour de France en livres, à pied et à voix haute pour aller lire de village en village puis un voyage littéraire autour de la Méditerranée, il vient de réaliser à pied Saint-Malo/Bamako 2009-2010. Un livre et un film documentaire sont en préparation.
Site : La Méridienne du griot blanc
Bibliographie
- À pied et à voix haute, le tour de France en livres d’un lecteur public (HB Éditions)
- Sur les chemins d’Oxor – Chroniques méditerranéennes (Éditions Actes Sud) – www.oxor.net
- La lecture visage caché. Une autre façon de lire les albums (Conseil Général de l’Orne)
Terroir
Andrée Didier-Trousselle
« Je me souviens du jour, voici une dizaine d’années, où je fus invitée par mon éditeur d’alors, à présenter mon premier ouvrage lors du Salon du Livre de Paris. Ce fut une joie immense, mais aussi et surtout le résultat, la récompense d’un long travail et la possibilité de montrer à mes enfants et petits enfants que j’étais capable d’écrire, eux qui m’avaient tant demandé de le faire.
Chacun de mes nouveaux ouvrages qui paraît me donne l’occasion de rencontrer mes lecteurs par le biais des dédicaces, de rencontres, donnant lieu à des échanges enrichissants à tous points de vue lorsqu’au fil de la discussion le lecteur est emporté dans un autre univers, celui de mes écrits, tantôt rocambolesques, sentimentaux, exubérants, parfois tristes.. Autant de sujets qui vont lui donner l’envie de raconter à son tour, et de parler de mes livres… »
Bibliographie
- La petite maison de briques rouges – autobiographique – 2001
- Du chant de la source au bruit du combat – témoignages fin bataille de Normandie
- Chambois / Falaise en août 1944 – 2002
- Il était là assis au soleil – départ en 1939 d’un homme vers le front – 2003
- Les couleurs de la vie – 88 poésies – 2004
- Émeline et la blessure profonde – autobiographique – 2006
- Au fil des jours – 164 poésies – 2007
- L’inconnu des Cévennes – roman – 2008
- Du mas des mûriers à l’aire des aigles – 2009
- À l’heure où les phalènes s’envolent – 2010
Autres livres à paraître prochainement aux éditions Libre Label
Pierre Frénée
i’ bérouine, un livre en patois normand
Pierre Fresnée est né en 1934 à St Philbert sur Orne (Orne). Ses parents louaient une ferme de 17 hectares « bois et cailloux compris ». Bien qu’ayant tous les deux leur certificat d’étude, ils ne parlaient qu’en « vieux français » à la maison. C’est dans cet univers qu’a grandi Pierre Fresnée, si bien que c’est seulement à 5 ans, en entrant à l’école, qu’il a appris le français.
Après 50 années passées à l’école, puisqu’il fut instituteur à Alençon, il eut envie de retrouver sa langue d’antan à travers l’étymologie et l’ancien français et de voir l’évolution des mots.
i’ bérouine – en français : ça bruine !
Ce lexique « de mots remontés de ma mémoire » prend sa source entre Falaise et Flers. Présenté agréablement, égayé de dessins réussis, ce livre est indispensable à qui veut comparer avec les mots de sa countrée.
« J’aiderai peut-être quelques jeunes curieux à se sentir plus proches de leurs parents ».
Ce livre est consacré par moitié à des réflexions de phonétique et orthographe, grammaire, les mots communs franco-québécois et sur « le » normand : « Patois : langage corrompu et grossier… » : Dictionnaire de Furetière, XVIIe s. Le rapport de B. Cerquiligni sur les langues régionales en 1999 définit 75 « langues endogènes » parmi lesquelles le normand. « Le » fait problème ».
Mais Pierre Frénée conclut en comparant des villages voisins, St Philbert et Bréel. « Si les différences sont intéressantes à noter, elles sont moins nombreuses que les ressemblances, et, lorsque des paysans des alentours se retrouvaient aux foires de Briouze, de Falaise ou de Condé, aucun problème de communication ne se posait entre eux. Il devait cependant être possible de deviner l’origine géographique de chacun »…
Prenons cinq mots, tout à fait au hasard, et se suivant :
« La Bouite = le résidu de la distillation du cidre
Les Bouquets = les plantes à fleurs (prononcé les boutchés)
Bourder = barrer le chemin (bourder les vaches) ou caler pour un attelage (cf. border)
Bouquer = bouder
Un Bourot = un canard (ou bourrot) ».
Amin liseus, ya de quei rémôqui tes souovenins d’o chu petit live ! (Remin Pézeri)
i’ bérouine ! Edité par Le Point d’Alençon, 7 rue des Iris 61250 Damigny
92 p. 10 € + port 2,50 €
Courriel : gandon.michel@orange.fr
Karine Lebert
Karine Lebert a la passion de l’écriture. Biographe et correspondante de presse pour Paris Normandie, elle a donné toute la mesure de son talent dans son premier roman Nina et ses soeurs, talent qu’elle confirme dans Le Secret d’Emma.
Laissez-vous happer par l’univers de l’auteure normande : amitié, vengeance, amour et pardon…
Le secret d’Emma
Éditions De Borée
Quel lourd secret cache donc l’impétueuse Emma ?
Emma, fille d’un bourrelier, et Armelle, fille de pêcheurs, sont les meilleures amies du monde et aiment à se moquer d’Angélique, la riche fille du maire propriétaire du haras La Licorne. Ces chamailleries restent sans conséquence jusqu’au jour où le père d’Emma est victime d’une fatale chute de cheval. Avant de mourir, il lui révèle qu’il ne s’agit pas d’un accident…
Jean-François Miniac
Nouvelliste attaché à la terre normande par ses écrits, il est membre de la société d’auteurs en Normandie présidée par l’historien Michel de Decker.
BIBLIOGRAPHIE LITTERAIRE
Il n’est pas d’auteur sans confiance éditoriale. En 2008, celles d’Anthony Frot, responsable éditorial des affaires criminelles chez De Borée, et des éditions de Borée, ont permis à Jean-François Miniac de se muer en écrivain du patrimoine normand, criminel initialement, adepte d’une Histoire popularisé valorisant le récit, dans la lignée de ces narrateurs de l’Histoire écrivant leurs récits en se basant sur de rigoureuses recherches documentaires tout en privilégiant le plaisir narratif. Que les deux responsables éditoriaux successifs du secteur Histoire et documents en soient chaleureusement remerciés ainsi que leur rigoureuse équipe, Anthony, Nathalie, Étienne et Céline, mais aussi Carole, Hélène, Virginie. D’envergure nationale et cultivant l’authenticité des terroirs auprès d’un large public, les récentes éditions De Borée se sont projetées au-delà de l’Auvergne, leur fief initial, pour embrasser l’ensemble des régions françaises. Les éditions De Borée, ce sont plus de trois cents auteurs réalisant romans, beaux livres, documents historiques, livres de poches…
À la suite de la rencontre du généreux Sébastien Japrisot en 2002, révélateur d’un désir inconnu d’écriture, et de l’écriture en 2007 du récit maritime Les Ombres de Surcouf, ses nouvelles, criminelles pour l’essentiel, sont depuis regroupées dans deux sous-collections de la collection Histoire et Documents des éditions De Borée :
- Les Grandes Affaires criminelles de l’Orne, préface d’Alain Lambert, De Borée, Paris, septembre 2008, 356 pages (ISBN 978-2-84494-814-4 ).
- Les Nouvelles Affaires criminelles de l’Orne, De Borée, Paris, septembre 2009, (384 pages pages-ISBN : 978-2-84494-959-2)
- Les Mystères de la Manche, préface de Jacqueline et Claude Briot, De Borée, Paris, novembre 2009, (416 pages-ISBN : 978-2-84494-968-4).
- Les Grandes Affaires criminelles de Normandie, collectif, De Borée, Paris, novembre 2009 (448 pages-ISBN : 9782844949509). Ce livre est aussi réédité, sous couverture souple contrairement à l’édition originale, par les éditions Le grand livre du mois en août 2010.
- Les Mystères de l’Orne, De Borée, Paris, janvier 2011 (416 pages-ISBN : 978-2-8129-0254-3).
- Les nouveaux Mystères de la Manche, De Borée, Paris, février 2011 (416 pages-ISBN : 978-2-8129-0324-3).
blog : http://miniacreation.blogspot.com
Nouvelles
Alain Leylavergne
Chaque mot s’écrie. Pour lui, et c’est d’abord une conviction, une certitude, LE VERBE est au début de toute chose.
Alors, il écrit à tout bout de chance et de rencontres, pour l’amour, la paix, l’étonnement, poèmes, nouvelles, romans.
Il œuvre également dans le Service public d’éducation en tant que principal de collège et assure la présidence de l’association « Éditions les tas de mots » qui publie une revue « d’expression poétique » présentée sur le salon.
La mer qui fut et autres nouvelles du monde
Recueil, éditions Les tas de mots
Préface de Philippe Simon :
Là où l’homme se révèle
« Mais nous, nous sommes hantés par le bonheur côtier », écrit Alain Leylavergne dans l’une des nouvelles ici rassemblées. Mais que signifie cette phrase ? Est-elle l’aveu d’une résignation ? Le manifeste d’un combat quotidien pour rompre le cercle indien ?
Pour connaître un peu Alain Leylavergne, s’il est possible de connaître jamais un être humain, je pencherais pour le manifeste. Ces mots expliquent son engagement d’homme qui veut dépasser l’horizon en général, et ses propres horizons en particulier. Il a vécu sa vie, ici, ailleurs, plus loin. Il s’est promené sur la carte du monde, en vrai, en songe, en littérature… Il a exploré des recoins de l’âme et des éblouissements du cœur. Toujours en haute mer. Il a rapporté des images, des entrechocs de cultures et de mots, des histoires qu’il conte avec la bonté de ceux qui partagent les arrachements et les promesses des cassures… C’est précisément dans ces interstices que nous sommes invités à nous glisser, là où l’homme se révèle aux autres, comme à lui-même.
Poésies
Guy Allix
Lauréat de l’Académie française
Né en 1953 à Douai. Vit en Normandie depuis 1975. Écrit depuis 1971.
Professeur de lettres. A mené de multiples expériences pédagogiques autour de la poésie.
A consacré une maîtrise et un D.E.A au poète Jean Follain.
Nombreuses chroniques parues dans « Normandie-Magazine », « Ouest-France », « Le monde libertaire », « Les Cahiers du Sens » etc.. Diverses conférences (Senghor, Follain, etc.).
Poète et critique littéraire.
Auteur de plusieurs recueils de poésie aux éditions Rougerie, Sauvages, au Nouvel Athanor, à l’atelier de Groutel et à la librairie Galerie Racine.
Prix Théophile Gautier de l’Académie française.
Derniers livres parus
- Maman, j’ai oublié le titre de notre histoire (récits autobiographiques) – Librairie Galerie Racine, 2008
- Guy Allix, choix de textes et présentation par Jean-Luc Maxence, Le Nouvel Athanor, 2008
- Oser l’amour, Atelier de Groutel, 2007
- Le poème est mon seul courage, Le Nouvel Athanor, 2004
- Le Nord, Atelier de Groutel, 2009
- Oser l’amour, autres extraits, Atelier de Groutel 2010
- Survivre et mourir, éditions Rougerie, 2011
- Correspondances, avec Marie-Josée Christien, éditions Sauvages, collection dialogue, 2011.
Blog : http://guyallix.art.officelive.com/default.aspx
Michel Lautru
Auteur ornais, il écrit depuis son enfance ou presque… Rencontrer les autres, animer des ateliers d’écriture, c’est pour lui aussi important qu’écrire.
L’écriture s’est faite ainsi avec des chômeurs de longue durée, des personnnes concernées par l’illettrisme, mais aussi des prisonniers ou des adultes vivant avec un trouble mental.
Parmi ses derniers titres :
- Les jupes s’étourdissent, Soc et Foc 2007, « Prix Printemps des poètes » des lecteurs Lire et faire lire, illustrations Marlène Lebrun
- Bleu-tendre… Rouge-coeur, l’Arbre au papier 2010, illustrations Agnès Rainjonneau
- Musique et poésie, ouvrage pédagogique avec CD, 2010, éditions Fuzeau
Françoise Coulmin
Françoise Coulmin, poète, peintre et géographe, née en 1941 en Normandie, y vit actuellement après une période passée à Paris. Poète, peintre et géographe.
Ce qu’elle dit :
La poésie sert aussi et surtout à résister contre la bête immonde et cynique, contre tout ce qui aujourd’hui tue l’espoir, emprisonne la conscience. La poésie arme aussi la révolte qui a bien tout à voir avec le rêve.
Ce que dit d’elle Guy Allix :
Pour que vive justement la poésie. Nous ne remercierons jamais assez les hommes et les femmes qui mettent ainsi, avec générosité, les mots dans les sillons de la libération des hommes.
Ce sera aussi l’occasion de présenter son éditeur Le Temps des cerises, maison d’édition œuvrant pour la poésie. Créé en 1993 à l’initiative de 33 écrivains qui voulaient ainsi ouvrir un espace d’expression, hors des sentiers battus de la pensée dominante.
En choisissant comme nom le titre de la chanson de Jean-Baptiste Clément, ils voulaient indiquer à la fois leur attachement aux idéaux de la Commune et à une certaine tradition de poésie populaire, le plus souvent occultée.
Le petit E de CERISES disant à sa façon que cette espérance maintenue l’est dans un temps de CRISES… Depuis, le Temps des Cerises a constitué un fonds éditorial de plus de 750 titres !
Carlos Tronco
Né en Angola, Carlos revendique sa double appartenance au monde lusophone et francophone.
Enseignant à Caen, il écrit et publie dans ses deux langues, le portugais et le français.
Carlos est co-fondateur de la revue Les tas de mots.
Sa poésie est un chant à la sensualité des mots. Il écume nos océans intérieurs et, tel un capitaine de caravelle, il nous invite à la découverte des vérités enfouies, simples et « logiques » : le voyage, l’errance c’est d’abord la ballade quotidienne d’un regard toujours neuf sur le monde, un éveil. Sa poésie se rythme, se ponctue, telle une salaison goûteuse. À consommer sans modération, accompagnée d’un verre de « vinho verde »…
Beaux-livres
Benoît Noël
Docteur en Histoire de l’Art, Benoît NOËL est auteur de livres, enseignant et commissaire d’expositions.
Il fut le conservateur contractuel du Musée Fournaise de Chatou (Yvelines) de 1992 à 1996.
Yves de Saint Jean
Yves de Saint Jean a installé pinceaux, chevalet, tubes de couleurs et boîtes d’aquarelles au cœur du Pays d’Auge. Cet amoureux des paysages et de la riche vie de nos terroirs, membre titulaire au sein de la Société des auteurs de Normandie (S.A.D.N.) écrit et peint en écoutant Mozart, Haendel, le jazz et les musiques populaires.
Il puise son inspiration en parcourant campagnes, villages, marchés, plages, ports et bords de mer ; mais c’est dans son atelier que prennent vie ses œuvres : aquarelles, lavis, gouaches, huiles, compositions originales aux couleurs délicates.
Ses livres que de nombreux amateurs collectionnent depuis ses débuts, sont connus en France comme à l’étranger. Il les imagine et les illustre de ses peintures. Ils mettent en valeur nos régions et les illustrations rendent plus accessibles la riche vie de nos terroirs : Gastronomie, culture, traditions, croyances, anciens remèdes médicinaux etc…
Il vient de publier en collaboration avec le docteur Valérie Gouze Gaillard le Gourmet diabétique, véritable « carnet de bord » ce livre est le témoignage d’une coopération réussie entre un médecin et son patient diabétique. Il est la preuve que l’adoption d’une alimentation équilibrée est incontournable dans la prise en charge du diabète Guide efficace, cet ouvrage s’adresse à celles et ceux qui souhaitent perdre du poids et se soigner en adoptant une nouvelle hygiène de vie qui allie rigueur et plaisirs.
Pour consulter la riche bibliographie de Yves de Saint Jean, artiste peintre et auteur, aux Éditions Vinarelle : http://www.vinarelle.com
Olivier de Rivaz
Si certains peintres ont l’obsession de ne pas troubler l’ordre établi, d’autres s’emploient à dénoncer les comportements de leur époque. Olivier de Rivaz, qui nous vient de Basse-Normandie, entre plutôt dans cette catégorie.
Doté d’un sens inné de la caricature, qu’il n’hésite jamais à pousser à outrance, ce peintre tout à fait sociable dénonce les nouveaux « Ubu », moins reluisants encore que le modèle d’Alfred Jarry…
… il stigmatise les tares d’un monde basé sur la violence et l’écrasement des plus faibles. On a, en quelque sorte, le sport que l’on mérite, et les enjeux qu’il met en œuvre ne peuvent qu’accentuer la noirceur du tableau.
Site internet : http://www.olivierderivaz.fr/
Gilbert Thil
Natif d’Alençon, Gilbert THIL obtient un doctorat en droit à la Faculté de Caen en 1955. Il effectue ensuite toute sa carrière administrative dans la Police Nationale. Après un passage à la Sécurité publique de Rennes, il est affecté définitivement en Police Judiciaire, tout d’abord au Service régional de Rouen, puis à la Direction centrale à Paris au ministère de l’intérieur, où il termine ce brillant parcours comme Directeur central de la Police Judiciaire.
Vice-Président de la Société Historique et Archéologique de l’Orne (S.H.A.O) en 1990, puis président après le décès du chanoine Flament, de 1998 à 2004. Il est actuellement vice-président de l’Office départemental de la Culture de l’Orne.
L’Orne sous le Consulat et le 1er Empire
2011 coïncide avec le voyage de Napoléon 1er en Basse Normandie où il est accueilli avec ferveur par les Normands. L’Empire paraît alors à son apogée !
Ceci étant, comment les ornais ont-ils vécu cette période passionnante de notre Histoire qui correspond au Consulat et à l’Empire ?
Au début de 1800 l’Orne qui occupe le 21e rang pour sa population est le 23e quant aux contributions versées, est en proie aux troubles de la seconde guerre chouanne…
Or, après le coup d’état du 18 brumaire, la volonté du Premier Consul est de rétablir la paix civile ; le département est donc directement concerné par des décisions prises pour mettre en place des nouvelles structures institutionnelles et administratives, rétablir l’ordre, ramener la paix religieuse, développer l’économie…
Bandes dessinées
Will Argunas
Will Argunas, Arnaud Guillois de son vrai nom, a publié Bleu(s), son premier album en 2001 aux éditions Triskel. Après la trilogie L’Irlandais parue aux éditions Carabas entre 2004 et 2006, il arrive en 2007 dans le label KSTR, avec Missing, un polar hard-boiled. Paraissent ensuite Black Jake et Bloody September en 2009 et 2010, deux autres polars dans la même veine. En 2010 il réalise une adaptation en BD de la vie de Memphis Slim aux éditions Bd Jazz. Il auto-édite également Pure Fucking People, un artbook sur l’univers des foules de concert de métal.
Après avoir été roughman de catalogue, et coloriste de storyboards de films publicitaires pendant 13 ans, il se consacre désormais à l’illustration, la BD et la peinture.
Blog : http://argunas.blogspot.com/
Laurent Bourlaud
Laurent Bourlaud est diplômé de l’EESI d’Angoulême. Membre de la rédaction du site Coconino World, il contribue au contenu du site pendant plusieurs années, en tant que dessinateur et graphiste. Résident pendant deux ans à la maison des auteurs d’Angoulême, il a publié dans des collectifs tels que La Maison Qui Pue, Choco Creed, Morvel, Ginkgo, Clafoutis. Il travaille pour Le Monde, la revue XXI, les éditions Les Moutons électriques et l’Arbre vengeur, Bayard, Hatier, Spirou et Delcourt.
Son premier roman graphique Nos guerres, en collaboration avec David Benito (scénario) et Patrice Cablat (couleur) est paru en octobre 2010 aux éditions Cambourakis.
Laurent Bourlaud réalise également divers travaux de communication pour des structures culturelles ou universitaires comme La Nef à Angoulême, Le Carré Magique – Théâtre de Lannion-Trégor – Pôle national des arts du cirque en Bretagne, le festival Rock en Seine, l’université de Poitiers, l’université de Rennes et travaille régulièrement pour divers groupes ou labels musicaux.
Livres publiés
- Nos guerres en collaboration avec David Benito et Patrice Cablat – éditions Cambourakis
- Bordel de Luxe en collaboration avec David Benito et Les Hurlements D’Léo – éditions Viltis BD – ACCFA
Site : http://www.laurent-bourlaud.com
Potfolio : http://laurent-bourlaud.ultra-book.com/
Patrice Cablat
Né en 1972 et originaire de Marseille, Patrice Cablat quitte sa Méditerranée natale pour l’École des beaux-arts d’Angoulême en 1990. Il part en 1997 pour Tahiti où il réalisera des travaux d’illustration à caractère ethnographique. De retour à Angoulême, PatCab rejoint en 2000 la rédaction de Coconino World et participe au développement de ce site de bande dessinée en ligne. Pendant plus de cinq ans, il y explore une large palette d’expressions graphiques.
Parallèlement, il a créé aux côtés de Tristan Lagrange la revue Choco Creed et mis en images la bande dessinée Les Pierres aveugles, sur un scénario de Thierry Groensteen, paru aux éditions Actes Sud – l’An 2. Il vient d’achever la mise en couleurs de l’album Nos guerres, qui paraît aux éditions Cambourakis.
Site : http://www.patcab.com
Alex Clérisse
Après des études de graphisme, il entre à L’Esi d’Angoulême. Il publie son projet de diplôme sur le site Coconino-world, puis intègre la maison des Auteurs d’Angoulême où il réalise deux albums de bande dessinée chez Dargaud: Jazz club (2007) et Trompe la mort (2009). En 2006, il réalise les couleurs de La farce de Maître Pathelin de David Prudhomme (éditions de l’An 2). Il participe au collectif Café Creed, et s’investit dans le projet Ginkgo (2008). Il publie L’école des lutins, avec Mylène Rigaudie (Glénat, 2009). Il travaille régulièrement pour la presse et l’édition (l’arbre vengeur, Jazzman, Bayard, Milan, Bordas,…). Il réalise des travaux de graphisme, pour des institutions publiques, des festivals. En 2011, il participe à l’exposition de sérigraphie « Luxe et Beauté » de l’atelier du gratin à Angoulême où il travaille.
Bibiographie
- Jazz club, Dargaud, 2007
- Trompe la mort, Dargaud, 2009
- L’école des lutins, avec Mylène Rigaudie – Glénat, 2009
Blog : alexclerisse.over-blog.com
Antoine Perrot
Antoine Perrot naît à Nogent le Rotrou en 1972. Après un baccalauréat scientifique option arts plastiques, il étudie à l’école Olivier de Serres, à Paris, puis, à l’école Saint Luc, à Bruxelles, en section bande dessinée.
En 1995, il crée la revue de bande dessinée Le dernier neurone, avec Neurone Pipero, Quentin et Joisson (Jürg, Witko et Morgan Navarro les rejoignent ensuite). Puis, il dessine pour l’industrie textile chez Comota (Gaultier, Levi’s, Disney, Kookaï, Chevignon…).
En 1999, il crée, avec Ninie, l’association de petite édition Supérette et la revue du même nom. Il dessine des histoires courtes dans les revues précitées, dans les collectifs Margarine, Ferraille, Pastek, Peau de banane, dans le livre disque ABCD-rom de Dick Annegarn, et l’album Dégât Collatéral, puis publie régulièrement des histoires courtes dans la revue Psikopat (Les enquêtes de Supérette, spécialiste des affaires spéciales, et Les coulisses du meilleur des mondes).
Depuis l’été 2009, il consacre l’essentiel de son temps à la réalisation de la bande dessinée Steve et Angie. Le premier tome, Enzymes sauvages, parait en janvier 2011, aux éditions Dargaud, dans la collection Poisson Pilote. Le deuxième tome paraitra en décembre 2011.
Blog : http://perrotbd.blogspot.com/
Benoît Preteseille
Diplômé de l’École nationale supérieure des arts décoratifs en scénographie, Benoît Preteseille travaille quelques temps pour le théâtre, avant de créer les éditions Ion et de se lancer dans la bande-dessinée.
Quelques années plus tard, il fonde avec Wandrille Leroy les éditions Warum, où il publie ses premiers longs albums : Dadabuk, L’Écume d’écume des jours, Sexy Sadie.
En 2011, il figure dans la sélection du Festival d’Angoulême pour L’Art et le sang.
L’Art et le sang
Éditions Cornélius.
Personnage de fiction créé en 1911 par Pierre Souvestre et Marcel Allain, Fantômas acquiert une notoriété internationale lorsque Louis Feuillade, le maître du cinéma fantastique français, l’adapte au cinéma en 1913. Plus grand criminel de tous les temps, le « génie du crime » n’hésite pas à tuer et à torturer pour arriver à ses fins. Surpassant l’original, Benoît Preteseille crée un Fantômas monstrueux à la fois physiquement et psychologiquement.
Site internet : http://www.preteseille.net/
Romain Renard
Né en 1975, diplômé de l’Institut Saint-Luc à Bruxelles, Romain Renard a réalisé de nombreux storyboards pour le cinéma et la publicité. Il a travaillé également à l’élaboration d’un jeu vidéo appelé Amazonia et collaboré avec l’équipe de Franco Dragone sur de nombreux projets, tant aux États-Unis qu’en Belgique. Il évolue également dans la musique et la scénographie de spectacle en étant l’auteur-compositeur du groupe de rock français baptisé ROM dont le premier album, L’étoile du sud, vient de sortir. Chez Casterman, en collaboration avec Yves Vasseur, il a signé American Seasons, primé meilleur album au Festival du polar de Cognac en 2005 et The End – Jim Morrison, dans la collection « Rebelles ».
Son dernier album, Un hiver de glace, paru chez Rivages/Casterman, est une adaptation du roman de Daniel Woodrell.
En savoir plus : Voir l’interview illustrée de Actua BD
Olivier Supiot
La nouvelle BD d’Olivier Supiot Un amour de marmelade (Glénat) est en librairie depuis le 4 mai 2011 : à ne pas rater pour les amateurs de BD alliant poésie et humour !
Lutétia est une mégalopole monstrueuse où vit le professeur Louys Cazaviel. Suite a une agression dans son laboratoire, sa vie bascule : sa femme est enlevée et il est accusé de son propre assassinat, alors qu’il est visiblement toujours en vie !
De plus, son corps a subi une mutation qui l’a transformé en une gélatine verdâtre, matière déformable à souhait issue de ses investigations scientifiques : le mélakron. Après une période difficile, le professeur Cazaviel essaye de dompter cette nouvelle enveloppe… Il va réapprendre à vivre et surtout il va devenir M. Marmelade ! Marmelade croisera sur son chemin un journaliste mythomane, une femme passe-muraille, une « gueule cassée », un policier intègre… autant de clefs pour retrouver sa femme, sa dignité et enfin la vérité !
Olivier Supiot, auteur aux multiples talents qui avait remporté l’Alph-Art du meilleur dessinateur à Angoulême en 2003 pour Le Dérisoire, signe ici son plus beau livre. C’est également son premier roman graphique, au croisement entre Edgar Allan Poe, Tif & Tondu et des contes fantastiques comme L’Homme Invisible de H.G. Wells ou Musidora, l’héroïne des Vampires de Feuillade.
Livre photos
Loïc Chauvin et Christian Raby
Responsables de la maison d’édition « Écrits de lumière », ils viendront présenter leur dernier livre, Albanie, un voyage photographique.
Albanie, un voyage photographique
Un aperçu historique de la photographie albanaise à travers le regard d’une douzaine d’artistes sur une période qui court de 1858 à 1945.
Exhumée après un demi-siècle d’isolement du pays, cette œuvre photographique aux accents ethnologiques nous fait découvrir en toile de fond différents visages de l’histoire peu connue de l’Albanie, depuis l’occupation ottomane jusqu’à l’indépendance du pays.
Méconnue en Occident, la photographie albanaise constitue pourtant un des fonds photographiques les plus riches des Balkans et parmi les plus importants d’Europe.
Un ouvrage exceptionnel, qui nous montre ce pays sous un autre regard, où l’on voit trois religions cohabiter pacifiquement, où les photographies funéraires constituent un vrai rite.
Le mot de DEO Libraires
Étant à la fois librairie et studio photographie, il nous était difficile de ne pas présenter ce travail tourné vers le portrait, vers l’histoire de la photographie, et d’une qualité rare.
En savoir plus : consulter l’invitation au colloque de Loïc Chauvin et Christian Raby sur l’Albanie
Jeunesse
Laurent Audouin
Laurent Audouin vit à Poitiers où il est né en 1969. Petit il rêvait de devenir « cosmonaute » ; c’est sûrement pour ça qu’il est éternellement dans la lune. Et finalement, comme la vraie lune est trop loin, c’est par le dessin qu’il décide de créer son imaginaire. C’est un boulimique de l’illustration, qui travaille pour la publicité et réalise aussi de nombreux livres pour d’Édition Jeunesse.
Les liens
Le blog de « Mirette » : http://laurentaudouin.canalblog.com/
Le blog de « Génial, mon école part… » :
http://carnetdemathilde.canalblog.com/
Laurent Audouin sur le répertoire de la Charte :
http://repertoire.la-charte.fr/repertoire/i1014-laurent-audouin
Irène Bonacina
Diplômée de l’école Estienne et des Arts Décoratifs de Strasbourg, Irène Bonacina est artiste et illustratrice. L’illustration jeunesse et adulte, la gravure, les carnets dessinés, lui permettent d’exprimer des univers variés et de poursuivre une recherche dans le dessin et la matière. Ses derniers travaux ont été publiés aux Éditions Chandeigne, Syros et Didier Jeunesse. Depuis 2009, elle développe aussi la création d’ateliers pour enfants autour de thématiques liées à son travail.
Bibliographie
- À paraître : La Tortue, José de Almada Negreiros, Éditions Chandeigne, 2011
- Les Dimanches, La Joie de Lire, 2011
- Boucle d’Or et les trois ours
- Jean-Louis Le Craver, Éditions Didier Jeunesse, 2010
- Contes du Vent d’Est
- Catherine Zarcate, Éditions Syros, 2010
- Arlequins (collectif), Les Éditeurs Associés, 2009
- Les Portugais à Paris, Agnès Pellerin, Éditions Chandeigne,2009
Presse jeunesse
Youssef, Ali et la princesse, de Juliette Mellon, col. Mes Premiers J’Aime Lire, Bayard Presse, juillet 2010
Site internet : www.irene-bonacina.com
Géraldine Cosneau
Biographie
Géraldine Cosneau a fait ses études aux Beaux-Arts de Nantes où elle est née en 1968 et où elle vit toujours. Illustratrice, elle travaille dans la mode enfantine et l’édition jeunesse notamment pour Mila (Mes créations des quat’saisons, Panoramas du monde, Mon voyage autour du monde en 80 pages d’activités), Actes Sud (Prosper et le joyeux anniversaire), Hatier (Tout doux Lapinou) , Amaterra (Où te caches-tu Petit Léon ?) et l’éditeur de jeux Djeco.
Bibliographie
- Panoramas du monde-Les animaux du monde, collection de cahiers d’activités, éd. Mila
- Mes créations des quat’saisons, collection de cahiers d’activités, éd. Mila
- Prosper et le joyeux anniversaire, collection des livres-circuits, éd. Actes Sud
- Où te caches-tu Petit Léon ?, éd. Amaterra
- Tout doux Lapinou, coll. Poussin-câlin, éd. Hatier
Blog : http://geraldine-cosneau.blogspot.com/
Christine Destours
Christine DESTOURS est diplômée des Beaux-Arts d’Orléans. Elle a réalisé des décors de films et participe à des expositions de peinture. Elle travaille pour la presse et l’édition. Elle vit aujourd’hui à Paris.
Bibliographie
- Des Zigotos chez Crapoto, éditions l’Élan Vert, collection le Pont des Arts (2011)
- Les Petits poissons dans l’eau, Didier (2010)
- La Batterie, Histoire de Leigh SAUERWEIN – Gallimard jeunesse (2009)
- Mon père m’a donné un mari, Didier (2008)
- La Fête au village, Didier (2006)
- Mon âne, coll. Poussin-câlin, éd. Hatier
- Sacrée prise de bec, éd. du Rouergue (2006)
- Pourquoi pleut-il de haut en bas et pas de bas en haut, Avec Stéphane MALANDRIN – Th. Magnier (2004)
- Messieurs propres, éd. du Rouergue (1999)
Sur internet :
Christine Destours sur ricochet-jeunes
Christine Destours au Cercle Gallimard de l’enseignement
Christine Destours au salon jeunesse d’Issoudun
Laurence Fantuz
D’aussi loin qu’elle se souvienne, Laurence a toujours inventé des histoires qui alimentaient ses rêves. Ses deux garçons n’ont pas échappé à son imagination. Ils se souviennent encore des récits qu’elle leur contait le soir au coucher. De l’oral à l’écrit, il n’y a qu’un pas qu’elle a franchi, et elle n’est pas prête de raccrocher la plume maintenant !
Si tu ne lis pas, prends garde à toi !
à partir de 9 ans
Prix : 9,50 €
Collection Aventures fantastiques, Éditions Adabam
« Je me présente : Max, douze ans, fan de jeux vidéo. Autant vous dire que la lecture et moi, cela fait deux ! Oui, mais voilà qu’un vieux livre surgit dans ma vie et m’entraîne dans une aventure invraisemblable.
Foi de Max, je ne me laisserai pas faire ! Comme tous les combats virtuels que je gagne derrière mon écran, je suis bien décidé à remporter le duel qui m’oppose à ce mystérieux bouquin. »
En imaginant une confrontation pétillante entre un jeune adolescent et un livre résolu à faire de lui un dévoreur de romans, Laurence Fantuz relève avec succès, le pari de nous convaincre que les livres sont de rares trésors.
Après les aventures de Max, un documentaire illustré invite le lecteur à découvrir l’écriture. Son histoire, son évolution… sans oublier les précieux conseils pour prendre la plume.
Laetita Le Saux
Illustratrice
Lætitia Le Saux est née à Nantes en 1969. Mélangeant betterave et petit suisse, elle découvre, dès la maternelle, la couleur qui n’a dès lors plus de secret pour elle (ni pour les tables de la cantine !). Après des études à l’école des Beaux-Arts de Nantes, elle se lance dans l’illustration et réalise quelques motifs de tissus avant d’évoluer dans le monde de l’édition. Sélectionnée pour le prix « Figures Futur » du salon du livre jeunesse de Montreuil en 1994, elle a depuis illustré beaucoup d’albums pour enfants et elle travaille aussi régulièrement pour la presse.
Elle fait aussi partager son savoir-faire et sa passion de la couleur et de l’illustration en animant des ateliers avec les enfants dans les écoles et les médiathèques.
[source : www.didierjeunesse.com]
Bibliographie
- La culotte du loup (texte de Stéphane Servant), Didier jeunesse, 2011
- Le cha-cha-cha des thons (livre-disque du groupe Les Matous), Didier jeunesse, 2010
- a participé à l’illustration des Premières rondes et chansons, Didier jeunesse, 2010
- Le grand concours (texte d’Hélène Vignal), collection « ZigZag », Rouergue, 2005
- À votre service, Rouergue, 2003
Site internet :www.laetitialesaux.com
Édouard Manceau
Auteur/illustrateur
Édouard Manceau est né en Vendée en 1969. Il y a vécu une enfance très heureuse, entouré de ses frères et sœurs, et de ses cousins. Après un parcours scolaire chaotique, il choisit d’intégrer l’école des beaux-arts d’Angers. Il s’y découvre alors une vraie vocation artistique qui ne cessera de grandir. À 30 ans, il publie son premier livre aux éditions Frimousse. Il collabore également avec Thierry Magnier et travaille régulièrement pour Milan Presse. Ces dernières années, il a vécu à Angers, Bruxelles et Nantes. Aujourd’hui, il vit à Vincennes.
[source : www.editionsmilan.com]
À lire
Interview consacrée à Édouard Manceau sur le site Ricochet
À découvrir
Site internet : www.edouardmanceau.com
- À paraître le 14 avril 2011 : Le caca du coucou, coll. « Maxi boum », Frimousse
- Mon domino des couleurs, Tourbillon, 2011
Marie de Monti
Née en 1981 par une belle journée de printemps, Marie de Monti adore, à la manière d’Alain Delon, parler d’elle à la troisième personne. Elle se passionne aussi pour la grande peinture, les cabinets de curiosités, les animaux, les super-héros et les blagues vaseuses. Situant son dessin quelque part entre les gravures d’entomologistes, les Mini Pouces et l’almanach Vermot, Marie de Monti creuse son sillon d’illustratrice pour enfants et compte bien, un jour, publier une bande dessinée pour les adultes qui révolutionnera le 9e Art.
Bibliographie
- Le Moyen Age à petits pas, textes de l’archéologue Vincent Carpentier, coédition INRAP-Actes Sud Junior, 2010
- Les mystères des musées parisiens, textes d’Alain Korkos, éditions Après la Lune Jeunesse, 2010
- La planète en partage à petits pas, textes de la journaliste Carina Louart, éditions Actes Sud Junior, 2009 (prix du livre écologiste, sélection Montreuil 2009)
- Choco creed n° 7, ouvrage collectif, éd. Café Creed, 2009
- Ginkgo, ouvrage collectif, éd. Café Creed, 2008
Blog : http://engrandepompe.canalblog.com/
Site : http://mariedemonti.ultra-book.com/
Patrice Olivier
Patrice Olivier est photographe/auteur pour l’association Terra Incognita depuis 2003. La vocation de cette association est de créer une collection de livres photo jeunesse découverte enfants du monde (8 – 12 ans). Ces ouvrages de 84 pages sont composés de plus de 80 photographies. Cette orientation éducative de ce projet associatif est suppléée par une dimension de solidarité pour chacun des livres.
Terra Incognita a édité ces ouvrages :
- Tagadirt el Bour, « Un printemps dans le Haut Atlas »
- Faoye, « Un village au Sénégal »
- Morochos, « Une communauté indienne dans les Andes »
- Niarovana-Caroline, « Un village à Madagascar »
- Kayodé « Une communauté amérindienne en Guyane »
- Chepté « Un village au Népal »
- Thanh Thuan « Un village dans le Delta du Mékong »
- Yendouma « Un village en pays Dogon «
En savoir plus sur le dernier ouvrage, Yendouma
Mylène Rigaudie
Illlustratrice
Mylène est née dans le Cantal, il y a déjà 26 ans. Éleveuse de tritons, de grillons, hannetons et autres insectes durant son enfance, elle gardera de ses années-là sa curiosité et son goût méticuleux du détail, qu’elle glisse dans ses dessins… Mylène vit à Angoulême.
[source : http://www.abcmelody.com]
Bibliographie
- À paraître le 12 mai 2011 : Que la vie est belle ! Sur la banquise (texte de René Gouichoux), Nathan
- Navani de Delhi (texte d’Anne Benoit-Renard), coll. « Viens voir ma ville », ABC melody, 2010
- L’école des lutins (texte de Laurence Van Ruymbeke), P’tit Glénat, 2009
- Hello, I am Lily! : from New York City (texte de Jaco et Stéphane Husar), ABC melody, 2009
- Que la vie est belle ! (texte de René Gouichoux), Nathan, 2009
- Toutes mes histoires préférées, ouvrage collectif, Nathan, 2009 (Le lion et le moucheron, texte de Sara Cone Bryant)
- Mon petit atlas Dokéo 4-7 ans, ouvrage collectif, Nathan, 2009
Portfolio : http://mylene-rigaudie.ultra-book.com/
Blog : http://mimirigaudie.canalblog.com/
Éditeurs
Noël Asselin
Éditions BVR
Éditions de la Morelle
Éditions de l’Ornal
Éditions Quai Voltaire
Éditions Quidam
Éditions Les tas de mots
Éditions Vinarelle
La SHAO
Les Archives Départementales de l’Orne
Les traducteurs
Jean-Philippe Beja
Spécialiste de la Chine, doctorat en études asiatiques à l’université Paris VII.
Directeur scientifique du Centre d’études français sur la Chine contemporaine (à Hong Kong) de 1993 à 1997.
Directeur de la rédaction de Perspectives chinoises et China Perspectives.
Membre du comité de rédaction de China Perspectives et Perspectives chinoises.
Il vient de traduire et de faire publier « La philosophie du porc » principal essai de Liu Xiaobo, opposant chinois emprisonné, Prix Nobel de la Paix 2010.
Isabelle Rabut
Professeur de chinois à l’INALCO, traductrice reconnue de la littérature chinoise, on lui doit notamment la traduction de « Brothers » de Yu Hua, des principaux romans de Shen Congwen, de Chi li.
Elle nous présentera les différents auteurs qu’elle a traduits. Elle nous fera partager sa passion pour cette langue et cette culture.
« La traduction, c’est la médiation entre la pluralité des cultures et l’unité de l’humanité. » Paul Ricœur